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https://hdl.handle.net/20.500.12177/5282
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.advisor | Thonneau, Patrick | - |
dc.contributor.advisor | Traissac, Pierre | - |
dc.contributor.advisor | Calvez, Thierry | - |
dc.contributor.author | Coulibaly, Issa | - |
dc.date.accessioned | 2021-10-04T10:38:03Z | - |
dc.date.available | 2021-10-04T10:38:03Z | - |
dc.date.issued | 2019-04 | - |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/20.500.12177/5282 | - |
dc.description.abstract | ntroduction : La malnutrition est un problème multifactoriel de santé publique. Elle menace les femmes, les enfants, les familles et en dernier ressort la viabilité de la société entière. Par conséquent une éducation nutritionnelle bien adaptée est nécessaire pour lutter contre ce fléau. L’adolescence est une seconde fenêtre d’opportunité pour lutter contre la malnutrition après celle des 1000 premiers jours. Une éducation nutritionnelle des adolescentes est une occasion renouvelée de les informer sur les bonnes pratiques nutritionnelles et d’activité physique qui pourraient perdurer jusqu’à l’âge adulte. Dans ce travail nous avons déterminé les connaissances, les attitudes et les pratiques des adolescentes du département de Matam en matière de nutrition en vue de promouvoir l’éducation nutritionnelle pour une rupture du cycle intergénérationnel de la malnutrition. Méthodes : il s’agissait d’une étude transversale de type descriptif qui s’est déroulée du 18 juin au 02 juillet 2018 auprès de 267 adolescentes de 12 à 19 ans tirées au hasard dans les districts sanitaires du département de Matam au Sénégal. Un questionnaire connaissances, attitudes et pratiques(CAP) établi à cet effet nous a permis de collecter les données. Résultats : Environ 6% des adolescentes étaient mariées et 6% avaient déjà un enfant. 31% d’entre elles ont déclaré n’avoir jamais entendu parler de la malnutrition. On note que les habitudes alimentaires d’une femme enceinte ou allaitante étaient méconnues par la plupart d’entre elles, soit 52%. Environ 64% d’entre elles n’avaient jamais entendu parler de l’allaitement maternel exclusif. Près de la moitié des adolescentes avait une attitude favorable pour une fréquence des tétées d’un enfant de moins de 6 mois liée à la disponibilité de la mère, soit 42%. Selon leurs pratiques 31% ne buvaient du jus frais ni ne mangeaient de fruits et l’activité physique n’était pratiquée que par 59% d’entre elles. Conclusion : Au terme de cette étude, il en ressort une faiblesse du niveau de connaissance en matière de nutrition des adolescentes enquêtées. Nous pouvons dire que les comportements en matière de nutrition et d’activité physique sont liés au niveau de connaissances et qu’une amélioration des connaissances des adolescentes de Matam en matière de nutrition permettrait de prévenir la malnutrition. | fr_FR |
dc.description.abstract | Introduction: Malnutrition is a multifactorial public health problem. It threatens women, children, families and ultimately, the viability of the entire society. Therefore, a well-adapted nutrition education is needed to combat this problem. Adolescence is a second window of opportunity to fight against malnutrition after the first 1000 days. A nutritional education of adolescent girls is a renewed opportunity to inform them about good nutritional and physical activity practices that could last into adulthood. In this work we have determined the knowledge, attitudes and practices of adolescent girls in the Matam Department in nutrition to promote nutrition education for a break in the intergenerational cycle of malnutrition. Method: A descriptive cross-sectional study which takes place from June 18 to July 2, 2018 among 267 adolescent girls aged 12 to 19 randomly drawn from the sanitary districts of the department of Matam in Senegal. A questionnaire of awareness, attitude and practice established for data collection. Results: About 6% of adolescent girls were married and 6% already had one child. 31% said they had never heard of malnutrition. It is noted that the diet of a pregnant or breastfeeding woman was unknown by most of them, namely 52%. About 64% of them had never heard of exclusive breastfeeding. Nearly half of the adolescent girls had a favorable attitude for a head of a child under 6 months of age related to the availability of the mother, namely 42%. According to their practices, 31% did not drink fresh juice or eat fruit and physical activity was practiced by only 59% of them. Conclusion: the study reveals a drop in the level of nutritional education of the adolescent girls surveyed. We can say that nutrition and physical activity are linked to the level of knowledge and that improved nutritional education of adolescent girls in Matam would prevent malnutrition. | en_US |
dc.format.extent | 39 | fr_FR |
dc.publisher | Université Senghor | fr_FR |
dc.subject | Malnutrition | fr_FR |
dc.subject | Education nutritionnelle | fr_FR |
dc.subject | Adolescents | fr_FR |
dc.subject | Sénégal | fr_FR |
dc.title | Education nutritionnelle des adolescentes dans le cadre de la prévention de la malnutrition à Matam au Sénégal | fr_FR |
dc.type | Thesis | |
Collection(s) : | Mémoires soutenus |
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