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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/12578
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dc.contributor.advisorPinghane Yonta, Achille PINGHANE YONTA-
dc.contributor.authorTalla Ndesoptsi, André-
dc.date.accessioned2024-12-30T11:00:25Z-
dc.date.available2024-12-30T11:00:25Z-
dc.date.issued2023-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/12578-
dc.description.abstractCe mémoire qui a pour titre « Prise en charge des patients atteints de l’insuffisance rénale au Cameroun : logiques, contraintes et stratégies des différents acteurs au Centre Hospitalier et Universitaire de Yaoundé » est le résultat d’un travail académique mené à Yaoundé du 28 juillet au 11 septembre 2022. Le choix de cette ville n’a pas été fait au hasard mais, en raison non seulement de son statut de capitale politique du Cameroun mais du fait qu’elle fut la toute première ville à abriter le tout premier centre d’hémodialyse (1990) qui abrite aujourd’hui plusieurs Centres de dialyse. Cette recherche se construit sur un constat: les mouvements d’humeurs (grèves) des patients atteints de l’insuffisance rénale observés dans certains centres d’hémodialyse du Cameroun (à Buea, à l’hôpital générale de Yaoundé, au Centre Hospitalier et universitaire en 2021) qui protestent contre la surexploitation du flux des malades et la rupture des kits de dialyse. En outre, malgré les politiques de lutte contre cette pandémie (IR) mises en oeuvre au Cameroun par l’État depuis 1990 jusqu’à nos jours à savoir : la création des centres de dialyse dans toutes les régions du Cameroun, la subvention de cette pathologie à 95% par l’État depuis 2002, les personnes atteintes de l’insuffisance rénale sont toujours confrontées aux problèmes de prise en charge. Ainsi, la question principale de cette recherche est de savoir : Quels facteurs expliquent les dysfonctionnements observés dans la prise en charge des patients atteints d’insuffisance rénale au Cameroun ? L’hypothèse formulée pose que, la prise en charge des patients atteints de l’insuffisance au Cameroun se déploie par une dynamique conflictuelle entre les acteurs en interaction. La vérification de notre hypothèse s’est effectuée à travers trois approches théoriques : Le modèle étiologico-thérapeutique de François LAPLANTINE, l’analyse stratégique de Michel CROZIER et la théorie des représentations sociales de Serge MOSCOVICI. Pour conduire cette recherche, la méthode qualitative a été utilisée pour collecter, traiter et analyser les données de terrain. Les résultats montrent que, le système de PEC des patients atteints de l’IR au Cameroun s’analyse à travers les logiques de domination avec les structures hospitalières productrices d’inégalités entre les acteurs et le dysfonctionnement des services de PEC des malades résulte des facteurs à la fois institutionnels, culturels, socioéconomiques et structurels. La présente analyse met en exergue la prise en charge des patients atteints de l’insuffisance rénale au Cameroun en général. Par ailleurs, elle met aussi en lumière, les « dynamiques sociales » et différents acteurs qui influencent cette PEC au CHUY en particulier.fr_FR
dc.format.extent165 p.fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectPrise en chargefr_FR
dc.subjectInsuffisance rénalefr_FR
dc.subjectPatientsfr_FR
dc.subjectContraintesfr_FR
dc.subjectCHUYfr_FR
dc.titlePrise en charge des patients atteints de l’insuffisance rénale au Cameroun : logiques, contraintes et stratégies des différents acteurs au Centre Hospitalier et Universitaire de Yaoundéfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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