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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/12363
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dc.contributor.advisorBouba, Dieudonné-
dc.contributor.authorDjekounyom, Alain-
dc.date.accessioned2024-11-29T06:41:21Z-
dc.date.available2024-11-29T06:41:21Z-
dc.date.issued2024-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/12363-
dc.description.abstractCette recherche vise à évaluer l‟efficacité des pratiques agricoles du canton Bessao dans la lutte contre l‟insécurité alimentaire. Le Tchad, malgré sa vocation agricole est reconnu comme un pays où l‟insécurité alimentaire est de plus en plus accentuée et surtout cette insécurité alimentaire est variable du Nord au Sud. Dans cette étude, la méthodologie utilisée est la méthode hypothético – déductive qui consiste qu‟à partir des hypothèses émises et des observations faites sur le terrain, de généraliser les résultats dans l‟ensemble de cette l‟étude. Cette recherche se repose sur les observations, les entretiens et les enquêtes par questionnaires auprès de 150 personnes dans les villages choisis pour collecter des données dans la zone du canton. Pour les traitements des données, nous avons utilisé le logiciel Microsoft Excel et le logiciel QGIS, ARC-GIS pour la réalisation des cartes. Cependant, les agriculteurs produisent plusieurs types de cultures dans les villages du canton, parmi lesquelles, plus de 70% des paysans cultivent les cultures commerciales comme le coton et l‟arachide. Alors le choix des cultures vivrières comme le sorgho, mil et maïs sont pratiquées après les cultures de rentes dans l‟ensemble des villages du canton. En ce qui concerne la saisonnalité des cultures, 62% des agriculteurs pratiquent les cultures de cycle court pour des raisons de la variabilité pluviométrique dans ces dernières années de la zone de production agricole. Cette situation a pour cause comme des contraintes naturelles, par exemple les aléas climatiques, les ennemis des cultures et les faiblesses du sol. Il existe aussi des techniques rudimentaires, les baisses des rendements, les difficultés de transport et de l‟état des routes, mauvaises conditions de ventes des produits agricoles et les conflits éleveurs – agriculteurs constatés dans tous les villages du canton. Tous ces faits, mettent les agriculteurs de différents villages du canton dans l‟insécurité alimentaire. Les paysans du canton Bessao mettent l‟accent beaucoup plus sur la production des cultures commerciales que les cultures vivrières, ce qui entraine les ménages à une certaine période dans les situations de l‟insécurité alimentaire. Selon les villages enquêtés, 97% des agriculteurs déclarent qu‟en juin à septembre, ils sont confrontés à des situations de l‟insécurité alimentaire dans leurs ménages. Par conséquent les pratiques de la production agricole ne garantissent pas totalement les besoins alimentaires des paysans dans les villages du canton Bessao.fr_FR
dc.format.extent185 p.fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectPratiques agricolesfr_FR
dc.subjectTechniques des cuturesfr_FR
dc.subjectInsécurité alimentairefr_FR
dc.subjectMalnutritionfr_FR
dc.subjectPauvretéfr_FR
dc.titleEfficacité des pratiques agricoles dans la lutte contre l'insécurité alimentaire au Tchad : Cas du Canton Bessaofr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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