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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/12171
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dc.contributor.advisorAbwa, Daniel-
dc.contributor.authorNlate Ndongo, Urbain Claude-
dc.date.accessioned2024-10-23T16:42:22Z-
dc.date.available2024-10-23T16:42:22Z-
dc.date.issued2017-09-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/12171-
dc.description.abstractLe questionnement sur l’historique, la nature, les axes de coopération, les moments de refroidissement et de réchauffement des relations Cameroun / Grande-Bretagne de 1946 à 2011, constitue la trame de cette thèse. En effet, elles sont de celles-là qui cristallisent, à elles seules, les qualificatifs les moins reluisants. En juin 1962, une note du Ministère des Affaires étrangères du Cameroun, sur l’état des relations anglo-camerounaises, disait clairement qu’elles sont « lâches et méritent par conséquent d’être resserrées ». Autre fait évocateur. Le tout premier ambassadeur de Grande-Bretagne au Cameroun, S.E. Patrick Murdoch Johnston est accrédité le 1er février 1960 ; alors que, Martin Epié, premier ambassadeur du Cameroun à Londres est nommé en 1962. Par ailleurs, les auteurs qui ont analysé ces relations, les qualifient de « défi», sinon, d’« injure au déterminisme historique », car n’ayant « jamais été à la mesure de leur enracinement dans l’histoire ». Ils n’y voient qu’un « partenariat mitigé », marqué par une asymétrie de « l’axe Yaoundé - Londres », trop souvent comparé, à tort ou à raison, à « l’axe Yaoundé - Paris ». Ainsi, les relations politico - diplomatiques sont dites d’« assez timides », tandis que les rapports économiques entre les deux pays, sont qualifiés de « relativement modestes » et de « tièdes ». L’un des objectifs de la présente réflexion, est de dégager dans un plan chronologique, les évolutions historiques et les césures dans les relations Cameroun/Grande Bretagne depuis 1946. Il s’agit tout d’abord, d’examiner les relations tutélaires Cameroun/Grande-Bretagne à l’ONU. L’objectif étant de s’interroger sur la gestion administrative britannique depuis l’Accord de tutelle du 13 décembre 1946. L’autre but de cette réflexion, est de présenter l’affaire du Cameroun septentrional britannique à la Cour Internationale de Justice de 1961 à 1963, et de voir si l’atonie observée dans les relations bilatérales Cameroun/Grande-Bretagne, est imputable à ce différend. L’ultime ambition de ce travail est de s’interroger sur les incidences supposées ou réelles de l’admission en 1995 du Cameroun au sein du Commonwealth, sur le réchauffement et la redynamisation de la coopération bilatérale entre le Cameroun et la Grande-Bretagne.fr_FR
dc.format.extent458fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectCameroun sous administration britanniquefr_FR
dc.subjectRéunificationfr_FR
dc.subjectCours Internationale de Justicefr_FR
dc.subjectCommonwealthfr_FR
dc.titleLes Relations Cameroun/Grande-Bretagne (1946-2011)fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Thèses soutenues

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