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https://hdl.handle.net/20.500.12177/11201
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.advisor | Tchombe Mungah-Shalo, Thérèse | - |
dc.contributor.advisor | Mayi, Marc Bruno | - |
dc.contributor.author | Khumbah Ngongtebong Tatu, Bienvenu | - |
dc.date.accessioned | 2023-07-28T06:56:28Z | - |
dc.date.available | 2023-07-28T06:56:28Z | - |
dc.date.issued | 2019-02 | - |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/20.500.12177/11201 | - |
dc.description.abstract | Le présent travail de recherche intitulé : « Inhibition du Moi et douleur chronique chez la personne amputée : le cas de la douleur du membre fantôme » visait à étudier l’inhibition des fonctions du Moi en relation avec la douleur du membre fantôme chez 08 sujets hommes dont l’âge variait entre 18 et 32 ans, victimes d’un accident de moto et ayant subi une amputation de membre inférieur dans une période comprise entre 09 et 17 mois. Nous avons donc résumé cette étude à travers le questionnement central suivant : L’inhibition du Moi peut-elle expliquer le phénomène du membre fantôme ? Comme réponse provisoire à cette question générale, nous avons formulé une hypothèse générale : HG : L’inhibition du Moi explique la douleur du membre fantôme. Cette dernière appelle les hypothèses de recherche suivantes : HR1 : L’inhibition de la fonction sexuelle est à l’origine de la sensation du membre fantôme. HR2 : L’inhibition de la locomotion explique la douleur du membre fantôme. Pour vérifier ces hypothèses, une étude clinique basée sur l’Échelle Visuelle Analogique (EVA) et un guide d’entretien semi-directif a été menée. Au terme de cette étude, il s’avère que tous les sujets affichaient un score supérieur à la moyenne au test d’EVA (>5) avec des scores plus élevés chez la majorité des sujets dont l’amputation se situait entre 09 et 12 mois : A1 (10 mois) = 8,75/10 ; A2 (09 mois) = 8,85/10 ; A3 (12 mois) = 7,65/10. Ces scores en association avec les entretiens indiquent le degré du vécu du phénomène du membre fantôme de chaque sujet. Ces résultats confirment l’hypothèse de l’inhibition du Moi comme cause du phénomène du membre fantôme chez la personne amputée. D’où l’importance de la mise en œuvre d’un modèle adapté de prise en charge pré et post amputation en vue d’une désinhibition du Moi, et d’une liquidation rapide de ce phénomène handicapant et empêchant une réadaptation adéquate de la personne amputée à l’issue de l’amputation. | fr_FR |
dc.format.extent | 355 | fr_FR |
dc.publisher | Université de Yaoundé I | fr_FR |
dc.subject | Inhibition du moi | fr_FR |
dc.subject | Douleur chronique | fr_FR |
dc.subject | Phénomène du membre fantôme | fr_FR |
dc.title | Inhibition du moi et douleur chronique chez la personne amputée : Le cas de la douleur du membre fantôme. | fr_FR |
dc.type | Thesis | - |
Collection(s) : | Thèses soutenues |
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